6 mars 2008
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Suite à l'exercice sur la tartine beurrée que nous avons corrigés la veille des vacances, voici quelques liens concernant le Principe de la tartine beurrée, principe dérivé des lois de Murphy et de Finagle.
Tout d'abord, il faut savoir que Robert Matthews de l'université d'Aston, Angleterre, a procédé à une vérification expérimentale à grande échelle de la chute de la tartine beurrée et qu'il a reçu, pour cela, l'Ig-Nobel Prize en 1996. Cette récompense est décernée chaque année depuis 1991 aux gens dont les accomplissements « ne peuvent pas ou ne doivent pas être reproduits » et ceci dans différentes catégories: chimie, physique, paix, littérature, médecine, etc...
Sur les pages Wikipédia vous trouverez la mention du corolaire de Blumenfeld : "si vous beurrez une tartine et qu'elle tombe du côté non beurré, c'est que vous aviez beurré le mauvais côté" ;-)... D'autres corollaires à propos de tartine dans cette liste interminable.
Mais s'il y a une application à connaître, c'est bien celle du paradoxe de la lévitation félino-tartinique : « Les lois de la Tartine Beurrée stipulent de manière définitive que le beurre doit toucher le sol alors que les principes de l'aérodynamique féline réfutent strictement la possibilité pour le chat d'atterrir sur le dos. Si l'assemblage du chat et de la tartine devait atterrir, la nature n'aurait aucun moyen de résoudre ce paradoxe. C'est pour cela qu'il ne tombe pas. » (Marcel GOTLIB, in La Rubrique à Brac, Dargaud Editeur)
Dans le même ordre de pensées profondes, la page de Wikipedia rappelle le Cercle vicieux de Cavey : « La loi de Murphy se vérifie toujours, sauf quand on cherche à la vérifier ».
Il en est ainsi pour des diverses lois qui constituent des corollaires à la loi de Murphy auquel tout un site est consacré, avec ses abondants liens et références.
Enfin, parce qu'il faut toujours une référence bibliographique livresque dans une étude de cette importance :
Tout d'abord, il faut savoir que Robert Matthews de l'université d'Aston, Angleterre, a procédé à une vérification expérimentale à grande échelle de la chute de la tartine beurrée et qu'il a reçu, pour cela, l'Ig-Nobel Prize en 1996. Cette récompense est décernée chaque année depuis 1991 aux gens dont les accomplissements « ne peuvent pas ou ne doivent pas être reproduits » et ceci dans différentes catégories: chimie, physique, paix, littérature, médecine, etc...
Sur les pages Wikipédia vous trouverez la mention du corolaire de Blumenfeld : "si vous beurrez une tartine et qu'elle tombe du côté non beurré, c'est que vous aviez beurré le mauvais côté" ;-)... D'autres corollaires à propos de tartine dans cette liste interminable.
Mais s'il y a une application à connaître, c'est bien celle du paradoxe de la lévitation félino-tartinique : « Les lois de la Tartine Beurrée stipulent de manière définitive que le beurre doit toucher le sol alors que les principes de l'aérodynamique féline réfutent strictement la possibilité pour le chat d'atterrir sur le dos. Si l'assemblage du chat et de la tartine devait atterrir, la nature n'aurait aucun moyen de résoudre ce paradoxe. C'est pour cela qu'il ne tombe pas. » (Marcel GOTLIB, in La Rubrique à Brac, Dargaud Editeur)
Dans le même ordre de pensées profondes, la page de Wikipedia rappelle le Cercle vicieux de Cavey : « La loi de Murphy se vérifie toujours, sauf quand on cherche à la vérifier ».
Il en est ainsi pour des diverses lois qui constituent des corollaires à la loi de Murphy auquel tout un site est consacré, avec ses abondants liens et références.
Enfin, parce qu'il faut toujours une référence bibliographique livresque dans une étude de cette importance :